mercredi 29 avril 2009

Le nouveau directeur de police de Saint-Jérôme, Louis Bruneault, est un criminel (3).

Mardi 28 avril au Métro de Saint-Jérôme des criss de bandits de policiers par douzaine appelés par les employées criminelles de ce magasin. D'abord le grand cheuffe des hypocrites qui se tient avec le gérant des boîtes de conserve, une espèce de grand escogriffe avec de la moutarde sur le bout de ses souliers; me suivent, ces deux-là, le bandit de policier et l'escogriffe, me suivent comme une queue de veau. Tas de misérables! mécréants!

Il y avait aussi cette criss de pute de policière qui s'insinue tel le serpent, elle a l'air d'une crotte de nez sèche sur un mur de plâtre peinturé en vert.

Et puis d'autres petits rats de policiers, dont une criss de folle à la sortie, près des paniers, et un autre trou-de-cul de policier qui se tient pas loin.

Et bien sûr tous ces bandits qui me suivent sur la rue... avec l'étron de policière, et le grand cheuffe au premier rang...

Criss de bandits puants!

Pour les employées, il y avait cette criss de pute derrière le comptoir de charcuterie, qui puait autant que le jambon avarié qu'elle servait; elle doit avoir un tas dans sa culotte. Hum, c'est plus chaud! Et cette caissière près de l'entrée, pouah! bande d'illettrées avec vos sixième années faibles! elles vont finir sur le trottoir, à faire des pipes aux petits vieux pour s'acheter un pepsi.

Un peu plus tôt, il y avait cet autre criss de bandit de policier à la Caisse populaire. Se tenait sur le trottoir, avait réquisitionné une pute fasciste de Saint-Jérôme... criss de rat!

Petite information: j'ai renforcé le système de sécurité de mon ordi, prendrait seulement un hacker pour y arriver, et encore!

Mardi 28 avril à la Place Citation en avant-midi. - Un criss de fou furieux de policier, appelé par les putes du centre de cochonnerie (maquillage permanent, hum, est-ce que ça se mange?), un criss de fou furieux de bandit de policier, dis-je, qui survient, la steam! la steam! ça chauffait, je vous dis... Je croyais qu'il allait attraper une crise cardiaque, c'te criss-là. Faudrait qu'il se soigne! Il me suivait dans la rue du centre d'achat! Scénario habituel. Face de rat?

D'autre part, lundi, en après-midi, le fou de voisin qui appelle les beus, une pute de policière grassette et brute, qui vient reluquer, puis s'en va. Ce même triste sire qui, il y a quelques semaines, coin Madeleine et Claude, qui incitait un automobiliste à provoquer un accrochage. Se prend pour un policier, ma foi! Il pue!

Le nouveau directeur de police de Saint-Jérôme, Louis Bruneault (photo), est un criminel. C'est lui le boss après tout. S'il ne fait rien, c'est qu'il approuve les agissements des criminels de policiers.

Les bandits de policiers se croient tout permis, au dessus des lois, des mafiosos... des bandes de lâches qui se cachent dans l'anonymat, incitent les gens à commettre des crimes... vraiment des criss de bandits... et les employées criminelles du Métro de Saint-Jérôme sont leurs complices.

Les employés du Métro de Saint-Jérôme sont vraiment des criminels fachos, petits, mesquins, lâches.

La petitesse a un nom: Saint-Jérôme.

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

* * * * * * * * *

Les policiers de Saint-Jérôme sont vraiment des criminels et Saint-Jérôme est une ville fasciste!

Voici des êtres ignobles de Saint-Jérôme:

Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme, qui appellent la police aussi souvent qu'elles se grattent le cul…

- La tom boy au gros cul du Marché 5 saveur.

- Les employés criminels du Métro de Saint-Antoine.

- Au IGA de Bellefeuille, les caissières puantes.

- la criss de bonne femme rouleau, pour l'ensemble de son oeuvre.

- Les caissières du marché 4 saveurs sont la pourriture de l'humanité.

- les policiers de Terrebonne, qui sont aussi hypocrites et criminels que ceux de Saint-Jérôme... et les bandits du Unipro feraient bien mieux de payer leurs impôts plutôt que de faire la moitié du travail au noir!

- le brave Claude Poirier, "bien connu des milieux policiers", téteux de beux, qui n'hésite pas à se parjurer... Tiens, un bel article ici de Patrick Lagacé sur ce sombre individu.

- les fachos de banlieue...

- les folles puantes du Maxi de Saint-Antoine ou de Saint-Jérôme.

- les énergumènes de Chez Lorrain, à Prévost.

- les vieilles putes de bibliothécaires de la Bibliothèque municipale de Saint-Jérôme.

- les bandits du Métro de Saint-Jérôme.

- les sorcières de la SAQ de Saint-Jérôme et de la Caisse populaire.

Mais aussi les bandits de la SAQ de Saint-Joseph du Lac et les bandits de policiers de ce même trou à rat.

Mais aussi Charlotte, de Rawdon, un ti-tas gros et court, mesquin et bête...

* * * * * * *

Les bandits de policiers sont moins pressés d’arrêter le policier qui a tué une femme à la caisse populaire de Saint-Antoine, ou encore celui retraité de la SQ qui a tué, pour le plaisir, en compagnie de sa femme, un jeune garçon dans un dépanneur de Prévost. Criss de bandits!

Au début des années 90, dans un magasin de musique, au Galerie des Laurentides, à Saint-Antoine, il y avait la vieille pute qui tenait le comptoir, alors que j'étais venu simplement pour acheter une cassette (Richard Desjardins, "Tu m'aimes-tu?", ça situe l'époque!) qui m'incitait à aller agresser un jeune garçon, qui ne faisait que fureter dans les disques, sans qu'il y ait aucune raison de croire qu'il pouvait être dangereux. La vieille pute, naturellement, appelle la police - c'est une habitude chez les vieilles putes de Saint-Jérôme -. Il arrive un criss de bandit de policier, dit deux ou trois mots à la vieille pute, et sans avertir, froidement, dégaine son arme et tue le jeune homme. On a sûrement dit que le jeune voulait faire un hold-up et qu'il avait une arme, le policier avait tiré pour sa défense... Criss de bandit de policiers! Une maudite mafia!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et Saint-Jérôme est une ville fasciste.

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vendredi 24 avril 2009

Le nouveau directeur de police de Saint-Jérôme, Louis Bruneault, est un criminel.

Bon, j'ai eu ma réponse: le nouveau directeur de police, Louis Bruneault (photo), est un aussi bandit criminel que les autres bandits de policiers de Saint-Jérôme. Puisqu'il ne fait rien, c'est qu'il approuve les manigances criminelles de ses policiers. Un criss de bandit!

Vendredi 24 avril vers l'heure du midi - à la SAQ du centre-ville, une criss de policière qui vient stationner son gros 4X4 à côté de ma voiture, elle a l'air d'une brute épaisse; peut bien fumer comme une cheminée. Puis, derrière, deux autres bandits de policiers fous furieux, dans un 4X4 aussi, ils me suivent sur Labelle, puis sur du Palais, incitant, bien sûr, des gens à faire un accrochage. Criss de bandits pourris!

Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont les excréments de l'humanité, et particulièrement les employées des SAQ de Saint-Jérôme.

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.
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mercredi 22 avril 2009

Maudite criss de mafia! (2)

Mercredi 22 avril vers l'heure du midi - rue Labelle, des criss de bandits de policiers qui me suivent, tentant de provoquer un accrochage, pour avoir un semblant d'excuse pour intervenir. (Scénario habituel.)

D'abord ç'avait commencé avec le bandit de policier dans sa voiture fantôme de police bleu marine (pour les tickets!), je le retrouve plus tard rue Labelle simulant d'avoir arrêté un automobiliste (en fait je l'ai reconnu c'était une face de rat de policier)...

Me suivent des chiens de policiers, dont deux beux (il et elle), qui tentent d'inciter un conducteur de 4X4 de faire un accrochage. Il avait précédemment communiquer avec une pute de policière qui attendait son tour sur Labelle, puis je la retrouve près du Cegep.

Et c'est sans parler de ces deux bandits de policiers (il et elle, la pute a l'air particulièrement défraîchi, l'autre, l'étron, est mou, ça ballotte de partout!) stationnés tout près de ma voiture dans le stationnement de la SAQ centre-ville. Tellement hypocrites, des monstres de stupidités...

Criss de bandits! La mafia policière est très occupée!

Le nouveau directeur de police, Louis Bruneault (photo), s'il ne fait rien, est un aussi bandit criminel que les autres bandits de policiers de Saint-Jérôme. Peut bien aller faire sa tournée de presse dans les journaux. Tellement intéressé par sa carrière.

Vous pouvez compter là-dessus, vous ne serez jamais capable d'effacer tout ce que j'ai écrit sur Internet. Criss de bandits puants!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.
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samedi 18 avril 2009

Maudite criss de mafia!

Vendredi 17 avril - fallait voir, au Maxi de Saint-Jérôme, ces criss de policières, des brutes puantes, doivent mouiller dans leurs culottes quand elles attrapent quelqu'un. Aussi cette pute de policière qui survient en auto aussi. Des étrons de policières, je parierais qu'elles ont toutes le cul sale. Criss de putes! Et dire que les citoyens paient pour ces criminels-là!

Et un autre étron de policier (Face-de-rat?), avec une autre pute de policière, qui attendent leur tour dans le stationnement de Dunkin Donuts! Ils me suivent sur la rue Labelle.

Je me demande si les bandits de policiers de Saint-Jérôme sont fiers d'eux.

Ou bien le directeur par intérim du Service de police de Saint-Jérôme, Danny Paterson, est une maudite moumoune qui se laisse embarquer par ses policiers, ou bien c'est un criminel comme les autres, parce qu'il ne fait rien. Je penche pour le deuxième point. Un criss de bandit! Bandits de père en fils!

Maudite criss de mafia!

Ces lâches, c'est juste capables de se mettre à dix pour tabasser quelqu'un, mais quand un p'tit cul, presque un adolescent, se jète sur eux dans un parc, malgré leur veste pare-balles, leurs armes, leurs cours de judo, karaté, etc., ça pisse dans leurs culottes. Criss de lâches, criss d'hypocrites!

Après avoir fait le ménage chez les Hells, qui fera le ménage dans la mafia policière?

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices. (Juste pour votre information, cette phrase complète donne environ 14,000 entrées sur Google. Hé! hé!)
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Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme

Vendredi 17 avril - à la sortie de chez Maxi de Saint-Jérôme, une criss de bonne femme fasciste de Saint-Jérôme, le genre pit-bull qui manque de s'étouffer... wouf wouf criss de folle! - Puis, à la caisse, une autre criss de folle de vieille à faire peur, et hypocrite... - Les bonnes femmes fascistes ont une ville: Saint-Jérôme!

Deux criss de policières hypocrites... d'abord qui manigancent dans les produits laitiers, puis un peu partout et à la sortie... Criss de bandits!

Et pour compléter, à l'accueil, une autre criss de pouffiasse hypocrite.

Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont vraiment les excréments de l'humanité!

Criss de pouffiasses écoeurantes!

Et tout ça avec les encouragements des bandits de policiers!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.
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mardi 14 avril 2009

Des bandits de policiers au IGA du Grand-Étron

Mardi 14 avril - des criss de bandits de policiers appelés par la folle décrépite de caissière (première à l'entrée) au IGA du Grand-Étron. Une criss de folle frustrée. Fallait aussi voir le trou-de-cul d'empaqueteux, un criss de téteux de bonne femme, le genre à vouloir jouer les héros pour bien se faire voir, une lavette de bonhomme, doit bander juste un peu, juste un petit peu...

Des bandits de policiers, d'abord deux (il et elle) qui arrivent dans l'entrée, puis un autre dans une auto noire qui se stationne près de ma voiture, puis survient une criss de policière débile puis encore un autre qui arrive en trombe dans le stationnement. Ça sentait juste les beignes.

Bande de fous furieux!

Puis ces bandits qui avaient postés deux autres policiers (il et elle) au coin de Martigny, manigançant....

Et tous ces bandits sont sans uniformes, c'est bien sûr! Criss de lâches!

Criss! qu'est-ce que vous faites? branchez-vous, bande de nuls!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.
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Un fou furieux dans une station d'essence et des bandits de policiers qui utilisent des enfants.

Dimanche 12 avril - Un fou furieux dans une station d'essence et des bandits de policiers qui utilisent des enfants. Le fou furieux, la brute épaisse, c'est le gérant, le proprio, ou n'importe quoi, enfin le trou de cul qui officie dans la station d'essence près des Galeries des Laurentides.

Et les bandits de policiers, qui utilisent les enfants, ce sont ces deux pervers de policiers dont j'ai décrit les actions dans le billet précédent.

Quelle ville pourrie! quels gens minables! que de petitesses!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.
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lundi 13 avril 2009

Le trou du bout du monde.

Dimanche 12 avril - Dans une station service de Saint-Antoine, une petite pute dans l'auto près de la mienne, qui incite son minable de chum à m'agresser: un trou-de-cul et une stroumpfette moche comme le cul du yâble. Par la suite un affreux pépère qui me suit, il est vieux comme la tour, a l'air d'une brute, il est comique à voir, se prend pour un justicier, Pépère-la-varice! Dans l'auto à côté, une pute fasciste de Saint-Jérôme qui incite son Arthur à provoquer un accrochage...

Saint-Jérôme est vraiment le trou du bout du monde.

En fait, j'ai bien raison d'écrire sur ma page d'accueil:

"Une ville fasciste, où les vieilles putes hypocrites et mesquines sont légion... Rien que des choses ordinaires et petites s'y font, les gens y sont des abrutis, puant la bêtise, l'hypocrisie, les visages à deux faces, l'ignorance et le contentement de soi..."

Criss de demi-portions et de nuls!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.
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samedi 11 avril 2009

Au Métro de Saint-Jérôme

Vendredi 10 avril - au Métro de Saint-Jérôme, près des caisses, contre la vitrine, une vieille pute d'employée défraîchie, vulgaire, abrutie, une vieille pute sanglante, qui manigance quelque chose. Puis un criss de bandit de policier (Face-de-rat) qui fait semblant de jouer au client pas loin, avec son panier vide. Ces deux monstres sont vraiment représentatifs des gens de Saint-Jérôme: petits, hypocrites, mesquins, sournois, lâches. Criss de ville puante!

Il y avait aussi la policière hypocrite qui se promenait dans les allées tandis que le fou furieux de policier (Face-de-rat) qui suivait derrière, bouillant, s'échappant dans ses culottes probablement. D'ailleurs c'était ce même Face-de-rat qui était au Maxi un peu plus tôt. La gestion du stress, t'as jamais entendu parler de ça, Face-de-rat?

Dans le stationnement, une criss de policière qui incite deux vieilles putes de bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme stationnée à côté de ma voiture, à provoquer un accrochage...

Puis une petite policière, probablement la même, la frustration imprimée sur le visage, qui me suit jusqu'aux Étals, puis sur Saint-Georges, puis sur Melançon. Une crotte de nez sur deux pattes. Fallait voir aussi ces deux mongols de policiers qui arrivent dans leur beau 4X4 tout neuf aux Étals, s'installent dans le fond, je suppose en attendant que la merde se fasse... Font semblant de ne pas regarder de mon côté, mais c'est tellement écrit sur leurs visages que ce sont des chiens de policiers! Bande de lâches!

C'est vraiment beau le métier de policier. La ville de Saint-Jérôme devrait congédier la moitié de ces bandits: une maudite gang d'eux ont perdu plusieurs heures vendredi à me courir après. Ils doivent ne pas avoir beaucoup de choses à faire. C'était peut-être aussi pour ça qu'ils n'enquêtent pas sur les vols: trop occupés à me courir après.

Les bandits de policiers se croient tout permis, au dessus des lois, des mafiosos... des bandes de lâches qui se cachent dans l'anonymat, incitent les gens à commettre des crimes... vraiment des criss de bandits... et les employées criminelles du Métro de Saint-Jérôme sont leurs complices.

Les employés du Métro de Saint-Jérôme sont vraiment des criminels fachos, petits, mesquins, lâches.

La petitesse a un nom: Saint-Jérôme.

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

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Les policiers de Saint-Jérôme sont vraiment des criminels et Saint-Jérôme est une ville fasciste!

Voici des êtres ignobles de Saint-Jérôme:

Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme, qui appellent la police aussi souvent qu'elles se grattent le cul…

- La tom boy au gros cul du Marché 5 saveur.

- Les employés criminels du Métro de Saint-Antoine.

- Au IGA de Bellefeuille, les caissières puantes.

- la criss de bonne femme rouleau, pour l'ensemble de son oeuvre.

- Les caissières du marché 4 saveurs sont la pourriture de l'humanité.

- les policiers de Terrebonne, qui sont aussi hypocrites et criminels que ceux de Saint-Jérôme... et les bandits du Unipro feraient bien mieux de payer leurs impôts plutôt que de faire la moitié du travail au noir!

- le brave Claude Poirier, "bien connu des milieux policiers", téteux de beux, qui n'hésite pas à se parjurer... Tiens, un bel article ici de Patrick Lagacé sur ce sombre individu.

- les fachos de banlieue...

- les folles puantes du Maxi de Saint-Antoine ou de Saint-Jérôme.

- les énergumènes de Chez Lorrain, à Prévost.

- les vieilles putes de bibliothécaires de la Bibliothèque municipale de Saint-Jérôme.

- les bandits du Métro de Saint-Jérôme.

- les sorcières de la SAQ de Saint-Jérôme et de la Caisse populaire.

Mais aussi les bandits de la SAQ de Saint-Joseph du Lac et les bandits de policiers de ce même trou à rat.

Mais aussi Charlotte, de Rawdon, un ti-tas gros et court, mesquin et bête...

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Les bandits de policiers sont moins pressés d’arrêter le policier qui a tué une femme à la caisse populaire de Saint-Antoine, ou encore celui retraité de la SQ qui a tué, pour le plaisir, en compagnie de sa femme, un jeune garçon dans un dépanneur de Prévost. Criss de bandits!

Au début des années 90, dans un magasin de musique, au Galerie des Laurentides, à Saint-Antoine, il y avait la vieille pute qui tenait le comptoir, alors que j'étais venu simplement pour acheter une cassette (Richard Desjardins, "Tu m'aimes-tu?", ça situe l'époque!) qui m'incitait à aller agresser un jeune garçon, qui ne faisait que fureter dans les disques, sans qu'il y ait aucune raison de croire qu'il pouvait être dangereux. La vieille pute, naturellement, appelle la police - c'est une habitude chez les vieilles putes de Saint-Jérôme -. Il arrive un criss de bandit de policier, dit deux ou trois mots à la vieille pute, et sans avertir, froidement, dégaine son arme et tue le jeune homme. On a sûrement dit que le jeune voulait faire un hold-up et qu'il avait une arme, le policier avait tiré pour sa défense... Criss de bandit de policiers! Une maudite mafia!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et Saint-Jérôme est une ville fasciste.

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jeudi 9 avril 2009

Saint-Jérôme: Une ville en dessous de tout!

Jeudi 9 avril en avant-midi - rue Saint-Georges, coin de Martigny, une pute fasciste de Saint-Jérôme (probablement une pute de policière hypocrite) qui incite un mongol dans un 4X4 à provoquer un accrochage, le genre de mongol abruti, puant de bêtise... va bien avec la pute en question... ces deux-là devraient baiser ensemble...

Un peu avant, à Saint-Antoine, des criss de moitiés de bonhommes, devant le centre d'achats des Laurentides...

Un peu plus loin, un bandit de policier, sur Labelle, avec son gros 4X4 blanc, qui zigonne, veut, veut pas, veut, mais finalement ne se décide pas à faire un accrochage, estimant sans doute que ça ferait trop de merde. Plus loin, ce même bandit, qui me suit et qui incite une lavette de chauffeur de taxi à provoquer un accrochage. Criss de bandits puants! Ces bandits-là (il et elle) m'avaient attendu dans le stationnement du centre d'achats, attendant que je déguerpisse. C'est vraiment beau le métier de policier!

Les bandits de policiers, les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme, les demi-moitiés, préfèrent sans doute que je répande ma belle prose sur Internet. Libre à vous!

Saint-Jérôme est vraiment une ville en dessous de tout... En fait, c'est un dépotoir d'humains! On dirait que toute la merde s'est retrouvé ici.

Les bandits de policiers sont certainement responsables d'une grande partie de la criminalité. Des criss de lâches! qui se cachent sous l'anonymat et qui incitent des citoyens à commettre des crimes à leurs places. Des bandits puants! faudrait mettre tous ces puants-là en prison!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

Eh ben, eh ben, je viens de publier mon 300e message! quelle tenacité!
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lundi 6 avril 2009

Criss de bandits puants de bandits de policiers!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criss de bandits puants. Vendredi en après-midi, après leurs criminelles manigances au IGA de Bellefeuille, ces chiens puants qui me suivent sur la rue. Pendant qu'un chien de policier en 4X4 conduit juste à ma droite, au beau milieu de la rue, espérant par là faire un accrochage, d'autres bandits qui me suivent derrière, dont celui à la face de rat dans une voiture noire. C'est sûrement le genre de chien puant à bander quand il voit quelqu'un se faire tabasser ou se faire tuer. On prend vraiment n'importe qui dans la police.

Cette même face de rat, qui, dans le stationnement, qui incitait un couple à faire de la merde pour pouvoir intervenir. Fallait voir ce couple: lui, le genre mongol, une grosse brute épaisse, doit rester effoiré devant sa télé toute la soirée en buvant de la bière, à débiter des lieux communs et à roter copieusement. Elle, une vieille pouffiasse écoeurante, qui incite son Jos: vas-y mon Jos... Juste à les voir, on se prend à douter que l'espèce humaine a fait des progrès depuis l'âge de pierre.

Fallait voir aussi cette pute délabrée, au IGA de Bellefeuille, juste derrière moi aux caisses. Un restant pourri de l'humanité.

Les employées du IGA de Bellefeuille sont vraiment d'une petitesse sans nom. À l'image de la ville de Saint-Jérôme, où on aime que ce qui est petit, mesquin et sans envergure. Restons petits!

Dimanche 5 avril - la criss de bonne femme rouleau qui appelle les beus, surviennent deux criss de bandits de policiers (il et elle) dans une auto noire, la même que je vois toujours. Le fou qui conduit a l'air de faire de la steam. Ils reluquent puis s'en vont. La vieille pute de bonne femme rouleau, c'est une truie à trois pattes. Peut bien nager dans sa merde, criss de folle moisie!

Les bandits de policiers de Saint-Jérôme sont vraiment des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.
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samedi 4 avril 2009

Les bandits de policiers de Saint-Jérôme sont vraiment des criminels.

Vendredi 3 avril - des bandits de policiers bien sûr appelés au IGA de Bellefeuille, par les criminelles d'employées. À l'extérieur, il y en deux ou trois bandits puants de policiers qui attendent stationnés devant le magasin. D'abord ils ont réquisitionné deux bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme, deux vieilles putes délabrées, à la sortie. - Stationné près de ma voiture, un chien de policier avec une face de rat dans une auto noire, attendant que la merde se fasse. - Puis à l'entrée, à l'intérieur, lorsque je retourne le carrosse, un autre chien de policier qui incite une pute fasciste de Saint-Jérôme à m'agresser.

Les bandits de policiers de Saint-Jérôme sont vraiment des criminels.

Les quatre meurtres des policiers de Saint-Jérôme.

Mardi 31 mars - Des bandits de policiers bien sûr appelés par les braves citoyens de Saint-Jérôme.

Chez Ibiscus ou quelque chose comme cela, deux putes de policières qui viennent fureter, chacun leur tour. Sur la rue du Palais de justice, un autre trou-de-cul de policier qui incite des automobilistes à provoquer un accrochage. Bande de chiens pourris!

Saint-Jérôme est vraiment le trou-de-cul de la planète. Et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont les excréments de l'humanité.

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.
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