lundi 30 avril 2007

Déontologie policière

Lundi 30 avril - envoi d'une plainte à la Déontologie policière: "Depuis plusieurs mois, je fais l’objet de harcèlement de la part des policiers de Saint-Jérôme. Ceux-ci incitent les citoyens à m’agresser, ou à provoquer un accident... etc."

Métro de Saint-Antoine

30 avril - en après-midi au Métro de Saint-Antoine - une vieille peau, vieux déchet humain, avec son moins-que-rien de mari qui s'approche pour m'agresser.... Et après ils auraient joué à la pauvre victime...

Tout ça à l'instigation d'un bandit de policier appelé par des caissières hypocrites qui font semblant de vaquer à leurs occupations... Maudites imbéciles!

À l'extérieur, deux employés qui guettent leur occasion....

Les employés du Métro de Saint-Antoine sont vraiment des bandits et des assassins!

Les policiers de Saint-Jérôme les encouragent, ils veulent surtout passer pour des honnêtes policiers. Pouah!

Policiers = assassins.

dimanche 29 avril 2007

Comme tout le monde!

Vendredi 27 avril - Métro de Saint-Jérôme - Très probablement à la suggestion de policiers, ou des employées du magasin, une vieille bonne femme moche et puante qui incite son mari à m'agresser.

Saint-Jérôme: une ville où les gens vont où tout le monde va, font ce que tout le monde fait, dit tout ce que tout le monde dit...


samedi 28 avril 2007

Métro de Saint-Jérôme

27 avril - Métro de Saint-Jérôme - un policier et une policière, bien sûr appelés... ah! ces bandits du métro de Saint-Jérôme... Même pas assez intelligents pour se rendre compte que les policiers se servent d'eux. Pour la mafia policière, c'est les policiers d'abord, et la terre entière ensuite: fausses accusations, meurtres, vol, etc. Et les seuls amis qu'ils ont, ce sont d'autres policiers, et leurs pauvres petites femmes, aussi bandits qu'eux...

La policière qui s'insinue comme un serpent, et le brave policier pas loin prêt à intervenir, pour sauver la pauvre femme, snif, qui va se faire maltraiter, snif, snif, snif...

Bien sûr, ces deux-là sont en civil, pour pas se faire reconnaître... faut pas pousser le courage trop loin...

À la sortie, le policier qui dit: "Si j'y touche, je vais le tuer!"

Et puis, plus tard, la policière folle qui avait stationné sa voiture juste à côté de la mienne, qui incite des automobilistes à provoquer un accident... Maudite folle!

Policiers = assassins...

Au moins, les vrais mafiosos, au contraire de la mafia policière, se font arrêtés quelque fois.





jeudi 26 avril 2007

Une bonne femme

19 avril - près de la polyvalente de Saint-Jérôme - une vieille pute dans sa voiture qui incite un vieux chenoque dans son 4X4 à provoquer un accident. - Ça a l'air assez courant chez les femmes de Saint-Jérôme ce genre d'hypocrisie... Saint-Jérôme = ville de trous de culs.

mercredi 25 avril 2007

Maxi de Saint-Jérôme

24 avril vers 4 h 30. - Maxi de Saint-Jérôme - une employée à l'accueil qui a appelé, bien sûr, les policiers... un policier qui lui cause en faisant l'hypocrite... ou, si c'est pas un policier, c'est un autre employé qu'elle incite à m'agresser... de toute façon, tout se fait avec l'accord de ces bandits de policiers!

Le policier assassin à l'employée du Maxi (réception): "Je vais le tuer!"

Plus loin, une autre employée truffionne qui trouve cela drôle. Peut bien travailler dans un Maxi!

À la sortie, le même policier, fou furieux, qui incite un vieux dans son auto à provoquer un accident.

Peuvent pas porter de fausses accusations, ceux-là, comme ils font souvent? ben non, ils ont trop de choses à cacher!

Maxi de Saint-Jérôme = repaire de folles furieuses...

tas d'hypocrites... maudite ville de truffions...




vendredi 20 avril 2007

Métro de Saint-Antoine

Un policier, appelé par les employés du Métro de Saint-Antoine, bien sûr, qui attend à la sortie, et qui incite une pauvre petite employée à faire semblant d'être agressée pour pouvoir intervenir. Toujours le même scénario!

Juste avant, le chien de policier qui demande à la préposée à l'accueil si c'était bien moi le spécimen... Les employées du Métro de Saint-Antoine sont des bandits et des assassins.

À l'intérieur du magasin, un vieux couple, elle à l'air fatiguée et usée, lui avec trois cheveux sur la tête... Lui l'encourage à simuler de se faire agresser, pour que lui intervienne... Elle lui demande: "t'es sûr qu'ils [les policiers] veulent ça?" Lui: "ben sûr, ils me l'ont dit!" Finalement, ils sortent du magasin sans rien acheter.

Les policiers de Saint-Jérôme sont vraiment des moins que rien, et les gens de Saint-Jérôme leur ressemblent: des trous-de-culs, des animaux ignares... Pouah!

Plus tôt, sur la rue du Palais, deux policiers dans une camionnette blanche identifiée de la police, qui veulent garrocher quelque chose sur ma voiture.

Policiers = assassins!



mardi 17 avril 2007

La Bibliothèque municipale de Saint-Jérôme

13 avril - un des bibliothécaires ou du moins l'une de celle derrière le comptoir: "Il est en train de nous faire une belle réputation!"

Eh bien, on a la réputation que l'on mérite!

Quand on est des criminelles, à l'égal des policiers!


vendredi 13 avril 2007

Policiers = bandits (3)

13 avril en après-midi - bibliothèque de Saint-Jérôme - une truffionne de policière et un truffion de policier derrière les ordinateurs - il doit pas savoir s'en servir, ce n'est pas un prérequis, l'intelligence, pour entrer dans la police - ça vendrait leur propre mère en quartier et au rabais pour protéger un des leurs. La policière, à la sortie, elle puait, elle puait... Le policier avait l'air insignifiant derrière son ordinateur, il ne lui manquait seulement qu'une plume dans le cul. En sortant, il avait l'air fou furieux, ce con.

et la truffionne de bibliothécaire (dans le milieu, celle grosse et moche comme le cul du diable) qui est complice.

Un peu plus tard, au Métro de Saint-Jérôme, deux vieux déchets gras et repoussants, deux vieilles bonnes femmes qui complotent avec la goûteuse, près du comptoir de la viande. Plus loin, bien sûr, il y avait deux braves policiers, deux spécimens de bêtise et d'inculture, qui surveillent la merde qu'is ont incité, pour se croire légitimés d'intervenir.

Et à réception, une employée merdeuse, qui a incité un groupe de vieux à m'agresser.

À la caisse, le trou de cul de policier qui incite une des caissières à le poignarder. J'ai jamais compris pourquoi ces mises en scène. Pourtant, c'est courant pour les policiers de faires des fausses accusations! Et ce qu'il n'ont pas d'imagination: toujours le même scénario: une pauvre femme qui simule d'être agressée, et le brave policier intervient! Vraiment c'est courant dans la police, ou quoi?

Même journée, club Vidéotron de Saint-Antoine: un gros porc puant de policier venu faire son tour, il jetait de la fumée tant il était furieux. Plus loin, une gnochonne qui manigance, c'est probablement elle qui l'a appelé.

Même jour encore, chez Sears, rayon de l'électronique, un trogon d'employé qui s'insinue derrière moi, tel le serpent de la Bible, afin de m'agresser. c'est courageux ces trognons-là...

Cou donc, cette ville est bien dégénérée.

Policiers = assassins et bandits. Mais avais-je encore besoin de le démondrer. CQFD.


jeudi 12 avril 2007

Saint-Jérôme

11 avril - vers 16h30, aux alentours du Palais de Justice. - Des voisins (genre qui veut se donner des airs d'ouvert d'esprit mais très obtus, et une blondasse difficile à digérer) qui veulent provoquer un accident ou simplement tirer quelque chose sur ma voiture. "Si j'ai la chance, je ne le manquerai pas", a dit ce brave voisin voilà une semaine.

Deux maudits bandits fous furieux!

Et des femmes qui incitent les automobilistes à provoquer un accident ou à m'agresser.

À tout bien considérer, cette ville est vraiment une ville de truffions.




mardi 10 avril 2007

Une ville de truffions

Vers midi, coin du Palais et Labelle, deux truffionnes dans leur voiture qui complotent pour provoquer un accident.

Saint-Jérôme, une ville de truffions!

Moi, j'appelle une ville de truffions quand la police commet ou complotent pour commettre un meurtre et que tout le monde trouve cela normal.

Détrompez-moi et j'enlève tout ce que j'ai écrit sur tout le monde.

dimanche 8 avril 2007

"Je vais lui crever les yeux."

7 avril - club Vidéotron - Une policière en civil qui incite les clients à m'agresser, notamment un vieux avec une canne. Cette même policière qui dit: "Je vais lui crever les yeux."

Plus loin, incitée par la policière, une cliente propose à son chum (ou mari) de m'agresser, et que lui se tienne prêt à intervenir. Saint-Jérôme est vraiment une ville de dégénérées.

Policiers = bandits. Ils préfèrent laisser faire le travail par une populace surexcitée.

Pas d'imagination, ces bandits-là, toujours le même scénario: quelqu'un simule de se faire agresser, et l'on se croit tenu d'intervenir. Ce scénario a l'air très répandu. À ce compte-là, il doit y avoir plein de personnes innocentes dans les prisons, alors que les vrais bandits (policiers, employés du Métro saint-jérome, la folle de la saq) courent les rues.

L'hypocrisie est vraiment la principale caractéristique de la société québécoise. On préfère s'exciter sur les femmes voilées alors que l'on n'en a jamais vues une ailleurs qu'à la télévision. Et on ne dit rien sur la condition des personnes âgées dans les CHSLD ou sur la violence policière.

Une femme, de préférence, simule de se faire agresser. Heureusement il y a un policier en civil tout près prêt à intervenir. Voilà le scénario convenu.


samedi 7 avril 2007

SAQ Saint-Jérôme

Vendredi 6 avril - La folle de la SaQ Saint-Jérôme sévit encore. La voilà qui incite une truffionne de cliente à m'agresser. Bien sûr elle a appelé la police. Une couple de policiers (la policière avait la bave à la bouche tant elle avait l'air d'une folle furieuse) qui veut me renverser avec sa voiture.

La Saq de Saint-Jérôme est vraiment le lieu des assassins, comme les policiers d'ailleurs, qui encouragent tout cela.




vendredi 6 avril 2007

Deuxième Rwanda?

Ma prof. de 4e année, Denise Leclerc, a été assassiné par le directeur de police de Trois-Pistoles de l'époque, Léger Leclerc. Son crime: avoir dit en cour qu'elle avait été violée par lui. Il l'a tué d'un coup de révolver dans le dos. En cour, ça a passé facilement. C'est vérifiable, si on s'en donne la peine. Quelques semaines plus tard, sa mère a été retrouvée pendue. Elle s'était suicidée ou on l'a suicidée, ce qui ne serait pas étonnant.

Mon prof. de physique en secondaire IV ou V, Réginald Gauvin, a aussi été tué en pleine classe, deux policiers de Trois-Pistoles lui ont brisé le cou devant tous les élèves. Puis, ils l'ont suspendu à la place du squelette (c'était une classe de bio et de physique), puis ils ont appelé sa femme. À voir sa surprise, plus tard, ces deux-là étaient crampé de rire.

Mon prof. d'éducation physique au secondaire, Roland Côté, a aussi été assassiné par la police, dans le gymnase de l'école.

Le directeur de police, entre autres crimes, gardaient une jeune fille dans un logement vide. Ils avaient obligé les propriétaires à veiller à ce qu'elle ne sorte pas. Son trip, c'était de la violer en l'étranglant. Elle a fini par mourir.

Une autre fois, il avait forcé à choisir l'un de nos voisins éloignés celui de ses deux fils qui allaient mourir. Pendant qu'il lui donnait le temps de choisir, et qu'un policier le surveillait, il violait sa fille dans la chambre.

Je pourrais vous en raconter autant...

Pas besoin d'aller au Rwanda pour voir des atrocités! Le Québec, ça suffit.




jeudi 5 avril 2007

Policiers = assassins

5 avril - en après-midi. deux folles à la librairie Renaud-Bray, et une autre à la caisse qui complotent pour m'agresser. tout ça avec la complicité des policiers.


En voilà un, hypocrite, qui me suit dans le centre d'achat: le genre fou furieux qui incite tout le monde dans le centre d'achats à simuler de se faire agresser pour se croire ou du moins faire croire qu'il est légitimé d'intervenir. Et à la sortie du centre d'achats, une policière hypocrite qui fume une cigarette, et deux autres qui arrivent dans une Écho.

Bandes de criminels!


mercredi 4 avril 2007

Les trognons

Maison des Jésuites à Saint-Jérôme : une préposée ou infirmière dans un 4X4 stationné près de l’escalier, une espèce de morpionne avec une face de poubelle du soir. La même, quelques minutes plus tard, aux Étals, qui incite un couple de fous furieux à m’agresser ou à provoquer un accident.

Les gens de saint-jérôme sont comme Romero dans la Passion, se nourrisant de trognons et vomissant la haine.

gnouf gnouf gnouf!!!

bandes d’incultes et de dégénérés du bulbe!