mardi 3 mars 2009

Les employés de la Caisse populaire de Saint-Jérôme sont des criminels.

Lundi 2 mars - à la caisse populaire de Saint-Jérôme, deux criss de putes d'employées. L'une, la vieille, qui parlemente avec un employé à travers la grille, lui disant d'appeler les beus; l'autre pute, insignifiante, qui surveille à la fenêtre, et qui manigance quelque chose. Deux étrons de bonnes femmes, qui ont sûrement passé leur vie dans cet endroit minable. Deux déchets humains. Pauvre humanité! Les employés de la Caisse populaire de Saint-Jérôme sont des criminels.

Sur le trottoir, une pute de policière hypocrite qui incite un vieux schnoque à m'agresser, tandis qu'un chien de policier (mais oui, c'est Face-de-Rat!) se tient pas loin dans sa voiture. Il a l'air d'un fou furieux: la steam monte! hum! la steam! ça va péter! Bande de chiens pourris! Les policiers de Saint-Jérôme sont vraiment des criminels, hypocrites, des bandits; et c'est ces pourris-là qui nous servent de police. Et dire qu'on paie des impôts pour les salaires de ces bandits-là. On peut bien être en récession.

Sur la rue, ces deux chiens-là, qui me suivent jusqu'à Saint-Antoine, incitant bien sûr des automobilistes à provoquer un accrochage.

Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont les excréments de l'humanité. Ce sont des êtres malsains et répugnants, qui se servent des hommes pour faire leurs mauvais coups. Quand tout simplement elles n'utilisent pas leurs propres enfants... Fascistes est vraiment le mot qui leur convient.

Le directeur par interim du service de police de Saint-Jérôme, Danny Paterson, est un criminel. Le genre hypocrite, qui doit se promener dans les écoles, étalant des bons sentiments (pouah!), et faisant la morale à tout le monde. Ce sont toujours les pires pourris qui font la morale aux autres.

Saint-Jérôme est vraiment le trou du bout du monde.

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels, et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.
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