Mardi 23 décembre - au Métro de Saint-Jérôme, il y avait ce mardi tout pleins de pourris de policiers. Des criss de lâches de policiers, même pas capable de s'identier, faisant les hypocrites, des puants de criminels, faudrait mettre tout ce monde-là en prison!
Le bandit de directeur de police de Saint-Jérôme, qui dit à un employé de l'épicerie un peu récalcitrant près du comptoir de boucherie: "Toé, tu vas dire ce que l'on va dire que tu dises." À l'extérieur, ce même bandit de directeur qui se tenait près de ma voiture, il avait réquisitionné une pute fasciste de Saint-Jérôme et l'incitait à aller m'agresser, se tenant prêt à intervenir bien sûr. Criss de pourri! Et après des petits journalistes téteux lui rendent hommage dans les petits journaux miteux de Saint-Jérôme: autant laver des planchers toute sa vie que faire ce genre de journalisme de téteux, il y aurait plus de dignité.
Un autre bandit de policier, l'air fou furieux, à la deuxième caisse, qui incitait une vieille femme à simuler de se faire agresser, mais la vieille ne comprenait rien...
Les caissières du Métro de Saint-Jérôme sont des criminelles, téteuses de beus, hypocrites et malsaines. Et que dire de cette pouffiasse dans les produits naturelles, vieilles comme les blés pourris, ou de gros bébé rose... Bande de fachos!
Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.
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