Hier, au IGA de Bellefeuille, Face-de-rat qui incite un gros tas obèse (un immense tonneau), une pouffiasse dégueu et repoussante, qui ne s’est pas vu le nombril depuis des lunes, qui l’incite à m’agresser, tout en se tenant tout près, pour intervenir. Faut voir ce criss de pourri de policier, hypocrite, sournois, puant de bêtise, une vraie face de rat pourri...
Face-de-Rat – Face-de-Rat – Face-de-Rat – Face-de-Rat – Face-de-Rat – Face-de-Rat – Face-de-Rat – Face-de-Rat – Face-de-Rat – Face-de-Rat – Face-de-Rat – Face-de-Rat – Face-de-Rat – Face-de-Rat – Face-de-Rat – Face-de-Rat – Face-de-Rat – Face-de-Rat – Face-de-Rat – Face-de-Rat.
C’te criss de face de rat, il essaie d’accrocher ma voiture, devant le centre d’achat, puis il a failli provoquer un accident un peu plus loin.
Criss de chien pourri!
Les débiles de caissières des IGA de Saint-Jérôme, si elles aiment tellement les bandits de policiers, pourquoi elles ne baisent pas avec Face-de-rat? C’te pervers-là, vous l’aimeriez sûrement. « Oh, ma belle petite face de rat, que je t’aime donc; je te permets d’embrasser mes fesses. »
Autre chien pourri : celui avec sa pute qui me suit dans son 4X4 noir...
Il y a vraiment de quoi à être fier d’être policier à Saint-Jérôme.
Oui, j’ai une petite surprise pour vous autres, bandits de policiers, et la surprise sera d’autant plus grande si vous accrochez (ou faites accrocher, c’est la même chose!) ma voiture. Je ne dis que cela.
Saint-Jérôme est une ville en dessous de tout. Les bonnes femmes fascistes y sont complices des policiers criminels. Ça pue l’intolérance, la petitesse, la mesquinerie, l’hypocrisie; c’est petit, c’est nul, vraiment un trou! Saint-Jérôme, c’est le trou-de-cul de la planète.
Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.
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