mercredi 24 décembre 2008

Des bandits au Métro de Saint-Jérôme

Il y avait peut-être une dizaine de chiens pourris de policiers, au Métro de Saint-Jérôme, ce mardi 23 décembre. La mafia policière est à l'oeuvre. Des trous-de-culs de policiers, faciles à identifier à leur air fou furieux; dans le magasin même, essayant de trouver quelqu'un qui servirait de prétexte à leurs basses oeuvres; puis dans le stationnement, entre autres, ces deux étrons de policiers (il et elle), dans leur 4X4 noir, qui me suivent sur la rue, se cachent dans le fond du stationnement des Étals, me suivent encore sur Labelle, toujours avec leurs manigances d'inciter des automobilistes à provoquer un accrochage. criss de chiens pourris!

Bien sûr, tous ces bandits-là dans des autos banalisés... criss de lâches! criss de lâches! criss de lâches!

Plus tard, quand j'arrive chez moi, deux criss de bandits de policiers qui viennent reluquer dans ma rue dans une auto noire: les deux complètement fous furieux; elle, les yeux sortis de la tête, y avait de la vapeur, ça chauffait, ça chauffait... lui, complètement disjoncté aussi... criss de bandits...

Ces bandits de policiers ont perdu au moins deux heures, sinon trois, et tout cela aux frais des contribuables. Décidément il y a trop de policiers à Saint-Jérôme: faudrait en congédier au moins la moitié; il n'ont pas de travail sérieux à faire.

Et que dire de ces employés criminels du Métro de Saint-Jérôme, et en particulier, la première caissière du bord, et ce petit empaqueteux avec une face de fouine. Beuark!

Les employés du Métro de Saint-Jérôme sont le déchet de l'humanité.

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.



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