Vendredi 4 juillet - chez Rona, une caissière débile (celle la plus près de la porte) qui incite un type gras et gluant, puant de bêtise, le genre téteux de bonnes femmes (probablement une sorte de gérant de clous et de vis), à m'agresser, avec son gros machin sur roulettes. Une autre débile qui médie dans le jardinage... On trouve de tout chez Rona, même des caissières hypocrites, fourbes et perverses. Fachos! Arrivent par la suite deux policiers dans une auto-patrouille, mais comme la cavalerie dans les bons westerns, en retard. Criss de bandits!
Un peu plus tard, aux Étals, un puant de policier avec sa vieille pute dégueulasse qui vient stationner son gros camion juste à côté de mon auto. Ils ont l'air tellement épais tous les deux, criss pas juste leur face qui étaient épaisses, mais aussi leurs allures, gros, énormes... La vieille pute, à poil, elle doit faire peur au père Noël... - Les bandits de policiers bien sûr appelés par cette bonne femme qui avait stationné sa voiture tout près, les seins à l'air, le gros cul, et avec un petit bébé... faudrait dénoncer cette folle à la DPJ. Facho!
Jeudi 3 juillet - au IGA de Bellefeuille, des bandits de policiers bien sûr appelés... arrivent un trou-de-cul de policier qui fait semblant de magasiner, avec sa vieille pute de policière (celle avec la voiture beige, beuark)... incitent une vieille pute de Saint-Jérôme à m'agresser, tandis qu'eux se tiennent tout près, prêt à intervenir... criss de bandits! criss de bandits! criss de bandits! criss de bandits! criss de bandits!
Comme cette bonne femme dans son gros camion blanc dans une station d'essence de Saint-Antoine: elle avait un air pervers, tout à fait le genre à faire peur au monde quand elle est de bonne humeur, alors imaginez quand elle est de mauvaise humeur! Arrive un trou de cul de policier dans une auto banalisé, il zyeute, évalue, reluque: tout à fait le trou de cul type: l'air chafouin, hypocrite, un être à vomir...
Les bonnes femmes de Saint-Jérôme sont fascistes, elles vont bien avec les bandits de policiers; d'ailleurs l'un ne va pas sans l'autre, pour avoir des policiers fascistes, il faut qu'il y ait des citoyens qui leur lèchent le cul, et qui sont même prêts à leur enlever la crotte au cul. Fachos!
On devrait faire un concours de léchage de culs: un policier se met les fesses à l'air et les concurrentes lui lèchent le cul. Celle qui lèche le mieux gagne un tour de ville en char de police avec la sirène et tout le bataclan. Les perdantes reçoivent un coup de matraque sur la tête. Compétition sûrement à l'honneur lors du prochain festival à Saint-Jérôme. On va s'amuser.
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Les policiers de Saint-Jérôme sont vraiment des criminels et Saint-Jérôme est une ville fasciste!
Les bonnes femmes haineuses de Saint-Jérôme, qui appellent la police à tout bout de champ…
Voici des êtres ignobles:
- La tom boy au gros cul du Marché 5 saveur.
- Les employés criminels du Métro de Saint-Antoine.
- Au IGA de Bellefeuille, les caissières puantes.
- la criss de bonne femme rouleau, pour l'ensemble de son oeuvre.
- Les caissières du marché 4 saveurs sont la pourriture de l'humanité.
- les policiers de Terrebonne, qui sont aussi hypocrites et criminels que ceux de Saint-Jérôme...
- le brave Claude Poirier, "bien connu des milieux policiers", téteux de beux, qui n'hésite pas à se parjurer... Tiens, un bel article ici de Patrick Lagacé sur ce sombre individu.
- les fachos de banlieue...
- les folles puantes du Maxi de Saint-Antoine ou de Saint-Jérôme.
- les énergumènes de Chez Lorrain, à Prévost.
- les vieilles putes de bibliothécaires de la Bibliothèque municipale de Saint-Jérôme.
- les bandits du Métro de Saint-Jérôme.
- les sorcières de la SAQ de Saint-Jérôme et de la Caisse populaire.
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Les bandits de policiers sont moins pressés d’arrêter le policier qui a tué une femme à la caisse populaire de Saint-Antoine, ou encore celui retraité de la SQ qui a tué, pour le plaisir, en compagnie de sa femme, un jeune garçon dans un dépanneur de Prévost. Criss de bandits!
Au début des années 90, dans un magasin de musique, au Galerie des Laurentides, à Saint-Antoine, il y avait la vieille pute qui tenait le comptoir, alors que j'étais venu simplement pour acheter une cassette (Richard Desjardins, "Tu m'aimes-tu?", ça situe l'époque!) qui m'incitait à aller agresser un jeune garçon, qui ne faisait que fureter dans les disques, sans qu'il y ait aucune raison de croire qu'il pouvait être dangereux. La vieille pute, naturellement, appelle la police - c'est une habitude chez les vieilles putes de Saint-Jérôme -. Il arrive un criss de bandit de policier, dit deux ou trois mots à la vieille pute, et sans avertir, froidement, dégaine son arme et tue le jeune homme. On a sûrement dit que le jeune voulait faire un hold-up et qu'il avait une arme, le policier avait tiré pour sa défense... Criss de bandit de policiers! Une maudite mafia!
Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et Saint-Jérôme est une ville fasciste.
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