Dimanche 9 novembre - Les bandits de policiers ont été bien sûr appelés par une vieille pute fasciste de Saint-Jérôme, cliente qui sortait de la SAQ du centre d'achats. Une criss de bonne femme perverse, une brute haineuse dans sa grosse voiture noire; elle va se reconnaître, je l'ai bien regardée et elle m'a regardée: criss de bonne femme fasciste! Les bandits de policiers se cachent bien sûr, puis me suivent sur la rue Labelle, puis sur Parent, incitant bien sûr des automobilistes à provoquer un accrochage. Arrivent aussi trois trous-de-cul de jeunes policiers dans le stationnement de la SAQ: ils prennent vraiment n'importe qui dans la police.
Devant la Caisse populaire, la puante de policière, l'air féroce et constipé, qui manigance un mauvais coup; elle est avec l'autre bandit de policier; ces puants-là se servent d'un jeune garçon d'une dizaine d'années à l'entrée de la caisse... Criss de bandits! criss de bandits!
Criss de chiens puants! Bientôt ces chiens puants vont utiliser aussi des enfants naissants! Faudrait mettre ces bandits en prison!
Les bandits de policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.
Des bonnes femmes fascistes, comme par exemple les bibliothécaires de la Bibliothèque municipale.
Saint-Jérôme, une ville en dessous de tout.
Un peu plus tôt, au Métro Henri-Bourassa, des chiens de policiers hypocrites (appelés par une pute fasciste), qui font le même jeu que les bandits de Saint-Jérôme. Il fallait voir la gueule d'insignifiant de celui qui se tenait à la porte du métro. Criss de rat puant!
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