jeudi 16 octobre 2008

Policiers, vous êtes des bandits!

Jeudi 16 octobre au Métro de Saint-Jérôme. Une criss de bonne femme fasciste d'employée, la même folle furieuse que d'habitude. Facile à reconnaître: les yeux ronds, ne voyant plus clair, tout juste si elle va pas péter une coche (la bêtise lui dégouline jusque dans la bracière). Pas loin, un bandit de policier ou de gérant (c'est la même chose, puisque ces employés travaillent avec les encouragements des bandits de policiers), qui se tient pas loin, prêt à intervenir pour "sauver" la folle. D'ailleurs, il y avait un criss de gérant (une moitié de moitié, un imbécile de truffion), dans les produits laitiers... Décidément, ce magasin est un repaire de bandits!

Deux chiens de policiers (un il et une elle) qui font semblant de magasiner. Criss d'hypocrites. Me suivent sur la rue, incitant des gens à provoquer un accident, sur Labelle entre autres. Bandits puants!

Plus tôt en avant-midi, deux bandits de policiers dans une auto-patrouille (101), qui viennent reluquer dans le stationnement des Étals. Criss de bandits!

Policiers, et particulièrement ceux de Saint-Jérôme, vous êtes des bandits, des criminels hypocrites; les policiers, ce sont des êtres héréditairement pervers, avec une morale de trou-de-cul, qui ont des analogies avec les mafiosis. Vendraient leurs enfants en quartiers et au rabais, pour protéger un des leurs.

Et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont vos complices! Des criminelles tout autant. Leur bassesse et leur stupidité n'ont d'égales que leur ignorance, leur hypocrisie, leur petitesse. Elles appellent les bandits de policiers aussi souvent qu'elles se grattent le cul. Tas de vermines répugnantes!

Saint-Jérôme, quelle ville d'une nullité sans nom! Pouah!





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