vendredi 2 novembre 2007

La Bibliothèque municipale de Saint-Jérôme

Dimanche 28 octobre - bien sûr, les vieilles putes de la Bibliothèque municipale de Saint-Jérôme ont appelé les policiers, qui, hypocrites et bandits comme d'habitude, se présentent sans uniformes. J'entends le trou-de-cul de service: "on inculpera un sans-abri qui se trouve dans la bibliothèque". deux policières, connes et en dessous de tout.

Les policiers de Saint-Jérôme sont vraiment des assassins et Saint-Jérôme, une ville fasciste.


Un peu plus tard, à la SAQ de Bellefeuille, la vieille vieille vieille employée, moche et frustrée, un déchet humain sur deux pattes, qui avait appelée la police. En sortant du IGA à côté, deux trous de culs de policiers, une et un, qui, dans leur camion, manigancent pour me renverser. Des bandits de policiers. C'était la même policière complètement débile et particulièrement perverse, qui, dans le IGA, incite un tout petit garçon, quatre ou cinq ans, à se mettre en avant et à servir de prétexte, pour la légitimer d'intervenir. Et bien sûr ces deux criminels de policiers qui me suivent avec leur camion, incitant les automobilistes à causer un accrochage. Les policiers de Saint-Jérôme sont vraiment des criminels, à enfermer tous.

Dans les journaux: environ 45% de la criminalité résolue à Saint-Jérôme. Pas étonnant, avec les policiers qu'on a là. Et peut-être aussi que c'est parce que les 55% qui reste sont des crimes commis par les mafiosi de policiers. Par exemple, pas trop pressés d'arrêter le policier qui a tué une femme à la Caisse populaire de Saint-Antoine ou le policier à la retraite de la SQ qui a tué un jeune garçon dans un dépanneur de Prévost.

Les policiers de Saint-Jérôme sont vraiment des assassins et Saint-Jérôme, une ville fasciste.



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire